Nicolas Sarkozy au bureau des abonnés présents

Mes pieds touchent difficillement le sol...donc soit le bureau est très grand, soit je suis...
pas grand.
Il ne faut exclure aucune hypothèse. Je suis pour me dire sincèrement les choses. Pas de sujets tabous.
Je dis ce que je fais et je fais ce que je veux.

Depuis le temps que j'en rêve.
Tu sais, Patrick (Balkany), un jour, je ferai une photo de moi à l'Elysée avec le président américain au bout du fil et moi, la veste ouverte, je regarderai négligement par la fenêtre.
Compte la-dessus et bois de l'eau, (expression qui est l'ancêtre de " et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu") m'avait répondu Patou.
L'Histoire me donna raison. Malgré mes talonnettes, j'avais réussi à monter une à une les marches de la présidence, faisant même passer ma rivale pour une folle énervée lors d'une joute devenue célèbre.
La représentante de Head and Shoulders s'est cassée la gueule sur les handicapés.
La revanche des nains que l'on n'écoute pas et que l'on brime est redoutable.  Mimi Mathy me l'avait bien dit ....
Aujourd'hui, je parade avec mes lampes bouillottes du général de Gaulle
et mon bureau Louis XV tout vieux du Mobilier national (le Conforama des grands de l'Etat).
Je suis heureux. La France est à moi. J'ai mis mes belles photos sur la cheminée :
celle où je suis avec Mireille Mathieu et Doc Gynéco en train de chanter Paloma adieu, une photo de Johnny et Didier Barbelivien au Fouquet's où Steevy s'était déguisé en homme...
C'est beau les amis.
Tiens en parlant de ça, toujours aucune nouvelle de Chirac.
Le vieux s'est barré comme un malpropre.
Enfin, je crois qu'il ne manque à personne.

Comments

[Pagine]

Je me dois d'ajouter que si "mes" miroirs sont avantageux, les cheminées sont plus modestes que celle du bureau de votre Président, qui n'est pas tout à fait le mien... Mais je fais avec et ne vais pas partir en Suisse ou en Italie, quoique, pour l'Italie, j'aurais un faible. Je vous raconterai cela une autre fois...

[Pagine]

Dites-moi, dtes-moi, il ne faut pas avoir le dos tourné trop longtemps. Mais au moins, j'ai eu là de quoi m'abreuver, de votre humour, de vos échanges avec Nina, et de votre habileté à vous laisser interviewer: un genre littéraire qui vous met tout de suite au dessus du premier degré...(autant dire au second!!!) mais qui présente des risques: attention au dédoublement...à la skizophrénie... Je suis justement en train de lire un polar (moyen) dont le titre Mary Mary fait froid dans le dos. Et je me dis: se peut-il que ce Monsieur Julien, si brillant, si beau parleur, si engagé dans ses propos, ne soit que le miroir d'un autre?
Et serait-ce cela notre blog? Le miroir de l'autre nous-même?
Voyez, vos doutes se partagent aisément.
Heureusement, aujourd'hui, je suis requise par des tâches matérielles: mon autre moi-même va se colleter, entre autres, à d'autres miroirs, ceux qui agrémentent les quatre cheminées de l'appartement. Trivial de parler de cela ici?

[nina]

Ah je suis trop contente il n'y a pas que moi qui fait des gaffes ! et oui un jour, je vous avez répondu sur le blog de Pagine au sujet de Prague et c'était pas vous qui avait écrit ce commentaire et aujourd'hui c'est vous qui m'avez confondu avec Pagine sur mon blog !!! Et oui avec Internet on parle à des prénoms et pas à des visages comme quoi le virtuel c'est pas si évident que ça.
Je vous remercie pour les renseignements je vais regarder ça. J'essaie de mettre des photos d'un spectacle qui a eu lieu dans ma bibliothèque autour de Marguerite Duras pour Pagine justement et ça donne pas grand chose, je verrais ça demain soir je vous souhaite une bonne nuit, à bientôt.

[Monsieur Julien]

ON a publié ensemble dingue ! On s'est croisés !!!

[Monsieur Julien]

J'aime le pastiche....mais avec beaucoup d'eau et des glaçons. Comme vous savez le pastiche est à consommer avec modération.

Oui, je m'ennyais un peu. Alors je suis revenu vous voir.